Mais j'avais un une mission du plus haut intérêt, retrouver le peigne à Bernard.
Les indices : un port, un jeune marin français, un bistrot, un peigne et une année 1973.
Vous connaissez mon esprit pratique, et après réflexion, une brève réflexion je dois avouer je mets un plan en oeuvre : faire tous les bistrots et visiter les toilettes.
Après 47 lieux de perdition ou j'ai été obligé de consommer. On m'a ramené dans un état lamentable mais avec TON PEIGNE Bernard que j ai récupéré coincé derrière le lavabo du Patagonia Gay 's boys club.
Photos à l'appui :
Je ne vois pas Pouxeux...Je ne comprends pas pourquoi??
RépondreSupprimerPour l'instant, c'est un très beau voyage. Continuez à nous faire rêver...
Bise à l'équipe
Hola Guigui, on compte sur toi pour des info sur l'Equateur pour 2016 .
SupprimerBises
Enfin ! le voile se lève, la vérité éclate dans la nuit à peine éclairée des néons des nigthclubs. Tant de questions restées sans réponses, tant d'années empreintes d'une sinistre inquiétude et voici que la lumière est faite grâce à toi öooo vénérable ami. Il était donc là, dans ce bar, derrière ce lavabo. Probablement n'était-il pas seul, sans doute une épingle, une capote, une boucle d'oreille lui tenaient compagnie tout ce temps ... Mais il est retrouvé ! Modeste peigne outragé ! brisé ! martyrisé ! mais Peigne libéré !
RépondreSupprimerReconnaissance éternelle.
Bon, là dessus, j'espère que tu n'as pas contracté de maladie honteuse en te penchant pour le ramasser et que tu pourras poursuivre ton voyage assis ...
Je t'embrasse.
PS : ne le perd pas il faudrait que tu y retournes
Comment le savais tu pour l'épingle, la boucle d'oreille et surtout de la capote allemande de marque Wunderbach ? Tu as raison sur tout sauf sur ta dernière supposition.
SupprimerQuoique, j'ai des démangeaisons furieuses à l'endroit indiqué!!